Comme tout pleins d'entre vous, je suis allée voir Bat-mec au ciné, et le jour de sa sortie en plus! Et j'ai bien aimé. Plus que le précédent. Je regrette juste l'ambiance rétro-réveuse et les décors néo-baroques de Burton mais sinon rien a redire. Ah si quand même moi j'aimais bien la Rachel-Katie-Cruise, mais bon la nouvelle est bien aussi. Et un p'tit conseil regardez-le en VO, en francais (quand j'ai revu le premier à la télé) j'ai remarqué que celui qui doublait Brouce en costume ne grossissait pas la voix comme l'original (ou alors le service de doublage n'a pas aussi bien masteurisé la voix). Et la grosse voix de Batman en anglishe croyez-moi... c'est Bat'!

(et pour ceux qui n'ont pas vu, depuis mardi, un nouveau post ici)

Superbus et moi ca fait 3, le peu que j'en ai écouté je n'aime pas. Je me rappelle les avoir vus en concert lors d'une fête de l'uni est d'être partie dans une autre salle parce que je trouvais ca rasoir. Cependant en zapouillant ces derniers temps je suis souvent tombée sur la chanson qui mousse et je ne sais si c'est dû à mon adoration du bain immuable (ou plutôt mon adoration immuable du bain), mais cette chanson-là passe très bien.

Allez hop. musique! En ces temps de disponibilité cérébrale maximale au coca cola (light) j'apprends à selectionner mon moutonnement amorphe, et je trouve que France 5 a des petites perles au milieu de ses reportages animaliers du genre Max-le-loup-solitaire-qui-crève-de-faim-dans-la-forêt (et accessoirement devant la caméra). Bref je découvre la nouvelle mode du reportage de voyage: je squatte dans la jungle innommable de la Province de l'hexagone (En campagne), ou de part le monde (j'irai dormir chez vous) mon programme préféré. Certes le concept à la base de sauter sur le badaud pour s'inviter à pieuter, me paraissait discutable; mais il se dégage une telle chaleur dans les sourires d'Antoine de Maximy, sourires même dans les situations les plus cocasses, que j'ai vite été charmée par ses reportages (et surtout par le vadrouilleur:). Du coup je regrette d'avoir laissé passer son film J'irai dormir à Hollywood (dont je viens seulement entendre parler). En attendant une diffusion télé: un ventilo-art du bonhomme!

Un autre ventilo-art d'une autre série qui voit des gens qui sont morts, bon  mit guimauve inside quand même. Mwé les derniers posts sont monothématiques, mais hé, c'est qu'il négeouille encore trop ma pauvre dame pour avoir de passionnantes aventures extérieures. D'ailleurs question weekend tout gris-collés à l'ordi, on a été servi! Du coup j'ai (encore, encore, encore une fois) quitté facebook (enfin non ca ne se quitte pas ce truc, ca se met en veille -_-) pour mieux ouvrir des trucs ailleurs: Deviantart et Chez-les-filles (que en cadeau t'as un logo avec:)

Bref... ma vie est formidable!

J'ai du mal à me tenir au courant avec l'actualité musicale. En glanant ca et là (et surtout en découvrant des music box sur des blogs) j'ai découvert Alela Diane et ai eu l'impression d'entendre Dido chanter du Cat Power, du moins pour ce titre white as diamonds, et puis aussi Amiina dont j'ai mis le titre ... en titre du message et que j'ai auto-nommé chanson de la pluie, et qui est bien sympa en fond sonore.

Avec les beaux jours, fleurissent de nouvelles espèces dans les rues et ruelles. Des Jeunes Garçons en-voie-d'enterrement avec le costume qui va avec, des gothic lolitas pas très réussies et des darth nénettes qui ne s'assument pas et reluquent avec envie mes habits, noirs certes, mais passe-partout.
Bref, il faut en profiter, car avec l'été ces créatures se fanent (de sueur: va porter un costume de lapin rose par 30 degrès toi) et se font tout de suite plus rares.

Et puis sinon:

héhé!

Mais j'ai quand même fait un rôdeur. Par la suite.

(oui parce que j'escompte essayer toutes les fins possibles, et qu'Alistair n'espouse que des nobles, l'ignoble snobinard. Or le mage ne demeure qu'un misérable mécréant, mais ceci n'a pas du tout influencé mon choix, non-non.)

(wé j'arrête avec ca)

(Alistair!!)

(stop j'ai dit!)

(oh et pis merde j'avoue... je suis une midinette de 15 ans huhu)

The legend of Zelda Neil. Ou un joueur se retrouve coincé -après avoir ...hum... abusé de la manette- au royaume d'Hyrule fait de carton pâte et trois bouts de ficelles. Je ne sais pas si ca tiendra plusieurs saisons, mais les quelques épisodes que j'ai vu sont pas mal, avec hélas parfois une tendance pipicaca. Ceci dit je préfère cette mini-série à The Guild jouée par les même trublions (dont j'avais parlé précédemment) et qui pédale un peu dans le semoule maintenant je trouve.

(oui le dessin n'a rien à voir avec le texte. Mais bon sachant que ni l'un ni l'autre ne sont d'une pertinence exceptionnelle- que dis-je c'est mon blog donc oui tout y est pertinemment génial- bref - pourquoi je me justifie au fait?)

En temps de crise quand tout va mal toussa, on a tendance à se réfugier dans le c’était mieux avant, au temps que l’on n’a pas connu et ou on lavait plus blanc que blanc. C’est pourquoi les films et séries télés madinfrance foisonnent d’histoires de monsieur m’dame tout le monde pendant la der des der ou la seconde guerre mondiale ; tandis que nos voisins grand-bretons se coltinent des épopées en robes bel empire, sauce Jane Austen et soupçon de sel shakespearien. Chacun son trip hein.

(Enfin ceci dit n’ayant pas la télé, je me base sur les programmes vus sur la feuille de chou gratos du matin donc je puis me tromper dans mes généralités).

Passons. Histoire de faire le mouton, et aussi parce qu’hormis le plus blanc que blanc du terroir, j’aime aussi les vieilles épopées capes et d’épées. Bref j’ai commencé à me mater (le terme est juste je pense) la série « the Tudors ». Bon j’avoue avoir un peu de mal à rentrer dedans, la limitation en streaming au 2/3 de l’épisode n’aide en rien je pense. Les Tudors donc, raconte la jeunesse batifole et un peu politique d’Henri VIII. C’est superbe, paysage et costumes et décolletés. Je ne trouve pas forcément le jeu d’acteur excellent, les dames ayant le rictus facile, les hommes facilement énervés ou également le rictus au garde à vous (wé ca complote pas mal entre deux galipettes). Pas mieux en ce qui concerne Jonathan-Henrhys-Meyers VIII : j’ai l’impression que tel l’acteur Peterjacksonesque de Frodo, le jeune homme joue sur ses yeux globuleux (qu’il a joli d’ailleurs) et ses lèvres charnues (idem). C’est marrant parce que dans Match Point, ou il joue également, ca ne m’avait pas tant frappé ce gameplay yeux-boubouche. Donc je vais persévérer en espérant que le scénar s’étoffe ou je risque de ne pas aller au delà de la 1ere saison.

J'ai récemment acquis une BD qui m'a beaucoup plu.  L'esprit perdu de Matthieu Bonhomme et Gwen de Bonneval. Le graphisme en noir et blanc est enchanteur et on se laisse porter par le trait du dessinateur et l'histoire. J'ai appris par la suite que ce livre regroupait 3 tomes précédemment en couleurs, Messire Guillaume, mais pour moi c'est comme si la bédé avait été pensée pour ce format one-shot tant la mise en page et le dessin brut se marient bien.
Bref pour l'instant la bédé de l'année, le titre n'était pas bien dur à obtenir, car j'ai eu dernièrement des achats très malheureux qui ont été anoblis depuis par l'ordre du navet. Moi qui pensais ne jamais me séparer d'une bédé... hum... certaines vont partir en Bookcrossing.
 

Il y a une chose que j'aimais beaucoup dans les romans d'aventures que je lisais gamine, le club des 5, les 6 compagnons, Alice et consorts, c'est les illustrations que l'on retrouve dans les pages. Mais pourquoi une fois adultes n'aurions nous pas droit aussi à nos dessins pendant la lecture? Il y a bien  le livre Jonathan Strange et Mr Norell qui en avait. Mais elles n'étaient pas terribles ... mais ca faisait quand même une bonne coupure sur le loooooong pavé que j'avais trouvé super méga soporifique.

[Edit: je teste le nouveau joujou de canalblog: les tags, j'adore les nouveautés, même si je n'en vois pas làmaintenanttoutdesuite l'utilité!]

Et demain sort Bishock2, enfin en France en tout cas, nous en helvétie on a souvent du délai pour  les sorties (mais c'est pas grave je n'ai fini Dragon Age qu'avec un seul de mes perso). Bref Bioshock, j'avais adoré le premier (j'en avais d'ailleurs parlé là), alors j'en reparlerai sans doute une fois testé, que dis-je testé, joué!

C'était sensé être un poste flemme-photo, vu le bel emballage et ses goodies, mais impossible de mettre la main sur l'appareil donc on se contentera d'un dessin rapide.
Le seul truc pas cool c'est que la douane ne m'a pas loupée. Mais bon, on va dire que le taux actuel de l'euro compensera ce désagrément. J'avais également hésité à prendre un corset, mais je me suis dit que pour une première fois, il valait mieux opter pour le serre-taille et voir si je supporte longtemps la chose.

Je n'ai pas regardé les nouveaux James Bond depuis ce grand poilu de Pierce mais il y a une pub qui met en scène le dernier Bond en date, Daniel Craig: ici. Pub qui passe depuis quelquetemps à la télé et qui me plait beaucoup. Dans cette scène, Daniel Craig tel un pantin presque déarticulé, se prend sans broncher, les multiples explosions qui couvrent l'écran, avec en fond sonore ce qui ressemble à un bruit de conversation  du public dans une salle de théâtre ou de cinéma. Et pour finir, la caméra fait un gros plan sur son visage tordu, abîmé, émouvant (bon les yeux bleux jouent peut être beaucoup dans le  mouvant de la chose). C'est donc une pub qui estétiquement me plait beaucoup, parceque quand même une belle pub c'est un mini-bonheur à regarder, non? D'ailleurs j'aime l'approche des fêtes pour les pubs un peu plus créatives qu'elles apportent, même si ces 3 dernières années, j'ai été peu surprise... à part peut être les pubs H&M quand elles jouent sur le rétro.

J'en reviens à Alice. Décidément beaucoup de choses m'y ramènent ces derniers temps (enfin je n'ai toujours pas vu le Burton, la faute à ce canton de hobbits qui n'a mis le film en VO qu'1 semaine). Ödland en parle dans deux de ces chansons: The Well et The Queen of Hearts. J'avoue pour la première que j'ai eu un peu de mal à en saisir l'allusion, oui mais qui suis-je pour critiquer avec mon english with accent français qui poutre. En tout cas certains morceaux sont sympas et les clips très fignolés, un groupe à suivre donc.

6 mois que j'ai une ordonnance qui traine pour changer mes verres de binocles. Le soir du jour ou je m'en occupe, Bing!!, mes lunettes-moches-pas-sex de rechange cassent. Depuis ma vie est floue (sauf quand je mets des lentilles mais là j'avais pas envie).

Voilà sinon accessoirement j'ai accepté un boulot "alimentaire" (un post-doc moi qui m'étais jurée de ne pas en faire), à plus d'1h de chez moi (alors que j'aime pô me lever tôt). Ce qui fait que là c'est la folie des paperasses, que j'y comprends rien avec ces permis de séjours, ces machins, ces trucs. Le seul truc que je sais c'est que je vais signer où on me dit de le faire et que ca va me coûter de l'argent histoire de rigoler un peu et que là plus d'excuse, faut que je m'occupe de présenter ma thèse publiquement. Bref je ne garantis pas une assiduité bloguesque du slip ces prochaines semaines. Mais bon j'ai trouvé un boulot hein.

Ce noël je me suis offerte moi-même mes cadeaux, ça tombe bien pile ce que je voulais: une cape de ma boutique à coups de coeur Voriagh boutique dont je ne vous ai jamais mais jamais parlé non-non-(déjà qu'on me surnomme "petit lutin" quand je me ballade avec ma veste à capuche dans la rue, j'ai hâte d'entendre mon nouveau surnom:)-... De plus j'ai trouvé dans mon trou de hobbit (dingue), pour pas cher (dingue!!), un parapluie pagode Lisbeth Dahl que je cherchais depuis un moment (heumaisdinguequoi). Comme père noël je dépote:)

Trouvant finalement cette "carte" peu joyeuse pour les traditionnels chatoyants vœux de nouvel an je la réserve donc pour le blog qui ne m'en tiendra pas rigueur, happy 2011 dear blog-fellows! Je posterai "l'officielle" comme d'hab, une fois envoyée à ses (heureux?) destinataires, donc dans le courant du mois.

Comme tous les ans j'accueille avec joie les premières lueurs du printemps (mais vachement moins le changement d'heure hein). Il y a cependant cette fois un je ne sais quoi d'amer, qui ressemble à celui qui préambule l'hiver, un voile un peu gris, une impression que ces beaux jours ne tiendront pas leurs promesses (sans mentionner ce putain de changement d'heure). Je sais, pour en avoir discuté autour de moi je sais que je ne suis pas seule à honnir cette nouvelle heure phoque bourdonner.

Au delà de nos petits vagues à l'âme personnels, serait-ce le gris de l'actualité qui pèse sur ce début de printemps?

[Edit: on parle de cette note ici . Une rubrique de Elle.fr c'est bien chouette quand même]

Autant l'an dernier je remplissais ce blog de moult gribouilles de pseudo-villes médiévales autant là, cette année c'est festival de l'arbre et de la nature dans mes carnets.

Etetet grâce à un fort gentil joueur (grand merci à toi) j'ai un peu testé la semaine dernière le jeu Rift.

Je n'y ai joué que 2 heures, j'avais vraivraivrai pas le temps.

Et peut être est-ce parce que j'ai voulu en faire un maximum pendant le temps que j'avais (nan mais 2heures sur un jeu, surtout pour une première fois, c'est rien) mais j'ai trouvé que la montée en sorts et compétences était trop rapide. En tout cas je me suis déjà rendue compte de mon choix non-optimal dans mes spécialités. Ah et puis j'ai trouvé le moyen, dès le début, de faire une aggro foireuse et de crever. Par deux fois. Wé. Nanmaisprêtrec'estdur.

Les quêtes : plein mais je pense qu'il faut jouer avec un ami pour que ce soit agréable car je n'ai pas accroché. Le jeu est joli mais sans plus, surtout si on compare à Aion par exemple, et l'image au loin floue (pourtant installé sur une bécane qui se défend pas trop mal... un souci de config' peut être). Je ne sais pas ce que valent les differentes classes et races. Moi je me suis fait (enfin créé hein) une naine, top la classe les naines. Avec un tatouage Naëvisien, top la classe je vous dis.

Dwarf powa. Hein quand même.

(Bon hé! je n'ai toujours pas fini DA2, je n'y ai même pas touché depuis presque deux semaines. Plus on y avance et moins je le trouve bien. Et surtout surtout j'y ai recroisé Alistair. Pouf une bouffée du jeu précédent qui te fait dire... Ahwémaissoyonshonnêtedeuxminutes il est bâclé ce jeu. Mais je vais tenter de le terminer quand même).

Je trouve que ma gribouille a des faux airs de Steven Kellogg, illustrateur qui a accompagné avec délices mes lectures d'enfant (mais non enfantines) de la très bonnissime maison d'édition L'école des loisirs.

Bon pis je reviendrai sur une prochaine note sur ma critique dudit jeu (dont la qualité enflamme déjà les forums) (mais je pars du bon pied, après une démo en VF pourrie mais grave, je le joue en anglais dans le texte, et déjà méga mieux), celui là et puis lotro que je joue toujours. Après tout ça fait un moment que je n'ai pas posté une note de nolife.

(En attendant un screenshot de mon premier perso-à peine joué hier soir-qui est trop un warrior qui poutre même si c'est une mage: meet Grey:)

Après une note, lundi dernier, un peu molle et une journée un peu folle, j'avais envie d'une gribouille gonflée de la cheville, de minusetcortex et de conquête du monde à faire passer les coachs professionnels personnels des grands patrons des boîtes pharmaceutiques helvétiques pour des fillettes en tutu rose.

Cela dit je traverse une mauvaise passe livresque ces temps-ci, super mauvais pour le kharma l'enchainement des navets. J'vais me prendre un Steinbeck histoire de forcer le destin. Warrior I said.

Celui qui est mélancolie attendrait-il aussi calmement l'inéluctable?

Après tout n'a t-il vraiment rien à perdre?

N'est-ce pas justement parce qu'il lui reste une parcelle de rêve, de désir, d'espoir qui se heurte à son monde réel qu'il est atteint de mélancolie?

J'ai bien aimé, entre autres nombreuses choses dont je ne parlerai pas plus en détail céans pour éviter de gacher toute surprise sur le beau et langoureux Melancholia, l'évolution de Claire et Justine tout au long des évènements, du temps qui s'écoule dans le film. Certes, Justine est au-delà de la mélancolie, mais puisque ce mot définit, titre et bien plus que cela le film de Lars von Tier, autant se poser la question avec ce mot là, n'est-ce pas?

Peut-on aller voir un film sorti cette année, film en noir et blanc et muet, dont le jeu des acteurs est adapté en conséquence et l’apprécier autant que si on avait devant les yeux une pellicule du début du siècle précédent ?

Je suis allée voir The Artist surtout par curiosité après avoir lu sur la feuille de chou gratuit du matin qu’un tel film sortait (comme quoi des fois on y trouve des infos intéressantes, autres que, qui s'est mangé un mur ou a tué sa famille avant de prendre son bain la veille).
Et bien... l'émotion est là. Oui, pour me répondre, de nos jours on peut faire un beau film, un film touchant, un film parlant sans mots, avec des acteurs qui en font trop, le trop du théâtre, le trop du mime, le trop des photos, le trop qu'on aimerait parfois pouvoir exprimer nous-même sans qu'on nous dise d'arrêter de faire tout un cinéma. Un muet éloquent, le cinéma d'autrefois tourné aujourd'hui, c'est encore d'actualité.

Cependant, cependant, cependant, je dois avouer préférer le parlant au muet (mes excuses Monsieur George Valentin) , je crois que pour moi les mots, les phrases, ont beaucoup d'importance dans le cinéma.

"...is that the people who once mattered the most wind up in parentheses.” (John Irving)

Comme chaque année l'exercice des voeux se révèle long, pas forcément satisfaisant, ni facile ou toujours accompagné de mots bien trouvés (surtout quand le destinataire peuple désormais une parenthèse). Pour une fois je n'ai pas fait de dessin juste pour ce blog... L'année commence bien. Aussi je mets, pour le moment pour l'occasion, un détail de ce qu'est matraditionnellecartedel'anneuf, et pour ne pas changer les habitudes, une fois envoyée à ses (heureux?) destinataires, je la posterai céans.

Un très bon début d'année à vous ô voyageurs du virtuel et compagnons de Monde de pixel. J'espère que parmi les étincelles qui éclaireront comme chaque année, comme pour nous tous, ponctuellement vos pas, vous trouverez des joyaux de pure surprise, merveilles ou de grand n'importe quoi.