Fables et fées mécaniques
Aujourd'hui je vais vous parler de Fable3, enfin de ce que j'en ai vu.Tictac tictac dong, le temps est encore une denrée rare, et je n'ai pas énormément avancé dans le jeu non plus. Oui parce que nulle console ne trône chez moi à part peut être quelque part la gameboy de mon enfance, donc... il m'a bien fallu attendre jusque là que le jeu sorte sur PC. D'ailleurs c'est une chose qui m'énerve... d'être Microsoft et de ne développer des jeux que sur console. Gnagnagnailfautbienlavendre Oui mais quand on a bâti son empire sur l'ordinateur, on ordonne boudiou! Bref je vais passer sur la création de compte gamesforouindows j'avais déjà assez râlé dessus quand j'avais évoqué céans Bioshock2 et parler du jeu lui même. Tout comme je passerai sur la VF et ces 4-5 voix toujours partout entendues (engagez du monde bordel, marre d'entendre la voix de la nénette qui doubla un jour Sangoku) (ok c'ma faute j'aurai du l'acheter lors de mon dernier séjour Outre-Manche).
Le steampunk est à la mode, prépare toi si ce n'est déjà fait ô toi commune populace consommatrice, et Albion n'y échappe pas. Cela donne aux paysages cette touche de désuet technologique, de belles robes à engrenages, de pirates aux pistolets et gantelets de feu et j'en passe. C'est joli. Tout comme le premier opus était joli.
Ensuite, on peut se balader en presque toute liberté sur les cartes. Mais le jeu reste linéaire. Très. On est tenu par la main. En laisse par son chien qui sniffe, ouaffe, et déniche toute voie annexe, et pour le reste. Pour le reste j'ai l'impression d'être sur un jeu point n' click. Oui. cette linéarité, le fait, pour avancer, jouer, interagir, d'appuyer sur ces boutons 1 et 2 (l'effet console), avec entre quelques batailles histoire de dire que nous rpgéons tout de même. Effet jeu point n' click lié également à l'univers. Je dois avouer que le steampunk, plus la musique et la bouille de mon héroïne (ben oui je me suis crée une nénette) me rappellent très très fortement Sibéria de Benoît Sokal.
Ah non je vais quand même le finir celui là. Ou au moins me marier moult fois, trucider quelques époux ou épouses et abandonner quelques marmots. Histoire de rigoler un peu et de ternir mon alignement toujours désespérement bon dans mes choix ludiques.