This Living Hand
This year is finally (nearly) over.
Ce noël je me suis offerte moi-même mes cadeaux, ça tombe bien pile ce que je voulais: une cape de ma boutique à coups de coeur Voriagh boutique dont je ne vous ai jamais mais jamais parlé non-non-(déjà qu'on me surnomme "petit lutin" quand je me ballade avec ma veste à capuche dans la rue, j'ai hâte d'entendre mon nouveau surnom:)-... De plus j'ai trouvé dans mon trou de hobbit (dingue), pour pas cher (dingue!!), un parapluie pagode Lisbeth Dahl que je cherchais depuis un moment (heumaisdinguequoi). Comme père noël je dépote:)
S'il est un illustrateur dont je vénère yeuxtement le travail c'est bien John Bauer. Lorsque je me dis "tiens je vais dessiner à la John Bauer" je me retrouve avec une gribouille luriesque pas terrible. Heureusement d'autres s'en sortent bien mieux que moi, tel John Kenn, qui arrive à recréer cette atmosphère particulière féérique et inquiétante sur ses petits carrés de post-it. Du coup j'ai essayé une gribouille à la John Kenn. C'est toujours pas ça mais ça cadre pas trop mal avec cette période de noël.
Et en titre et fin de gribouille, Wednesday de Tori Amos, titre que je connais depuis peu mais qui caractérise presque exactement ce que je suis et ressens depuis quelques mois. Sacrée Tori.
Ce mois-ci encore, de belles lectures dont le livre susmentionné d'Ohran Pamuk qui est un beau voyage dans le monde des illustrateurs au moyen age par un mois d'hiver à Istanbul, mais aussi, Où on va papa de Jean-Louis Fournier qui raconte de façon sobre et amusée son histoire de papa au pays de la normalité.
Wé c'est tout moi, quand je ne dis pas tout haut ce que je pense, je mets les pieds dans le plat:)