Bon pour ton poil a 7 ans dis donc!

Bon il n'y a pas que le gavage de fruit, il y a le phenomene estival sortie-barbeuq' aussi. Mais bon histoire de limiter les dégâts, j'ai arrêté le combo milk-shake banane, pfffff:((

... et où lulu se demande si elle doit bosser pour bosser ou bien continuer de chômer jusqu'à trouver un boulot qui lui plait.

Hop! Rentrée, séminaires, Zzzzgneu? donc gribouilles, procrastinouilles, remisesenquestouilles bref retour à la normale. (Une année sous le thème du chocolat... pourquoi pas!)

Aujourd'hui on a eu un jour brouillé purée de pois. J'avais l'intention d'aller jusqu'au au lac -ou plutôt le non lac aux vues de la météo- pour prendre des photos et puis pfff voilà quoi.

Suite à une idée de Joe Skull d'inviter qui le souhaite à sa table.

Bon mais les villes tordues ont beau être tordues, ça prend du temps. Donc je les réserve à mes cahiers de réunions et séminaires. Où bien aux grosses bouses épiques-nahanan-tralala-peplumesques sur lesquelles je tombe avant de brancher ma tablette.

Mwé je sens aussi que Mère Procrastination me fait déserter les blogues pâturages pour une sombre histoire de bannière, que je dois changer p'tain, à chaque fois que je passe ici j'ai les yeux qui piquent.

Puisque la mode est aux Escherichia coli il me fallait tout de même vous parler un peu des miennes.

(Et j'ai répété le mot "culture" 3 fois, vivent les figures de style et la rhétorique, de culture, j'ai un poil (pili?) manqué d'étaler la mienne)

"[...]Nevermore."

But the raven, sitting lonely on the placid bust, spoke only
That one word, as if his soul in that one word he did outpour.

The Raven, Edgar Allan Poe.

Et si... Et si c'est par ces deux mots que tout commençait ?

J'avais fait en décembre dernier, entre deux voyages, entre-deux réveillons, une note-bilan de l'année (ou plus) écoulée. Et puis je ne l'ai jamais postée et peut être vais-je l'effacer ensuite. Peut être pas. On verra.

Je l'aime bien ce mot. On pourrait tout à fait prononcer un truc semblable en plongeant dans les petits miroirs d'eau qui jalonnent les vieilles routes défoncées après la pluie.

“Racontez-leur des histoires. [...] C’est ce qui les nourrit. Vous devez leur raconter de vraies histoires, et tout ira bien, tout. Racontez-leur juste des histoires"
Philip Pullman, le miroir d'ambre.

Nous ne sommes qu'à une vingtaine de jours de la fête des fous. Mais ladite masquarade, même si elle n'existe plus, n'a jamais, aujourd'hui encore, aussi bien porté son nom.

Et sept centième message.