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J'aime pas les quenelles

27 octobre 2012

Des cornichons au chocolat

 

cornichons chocolat

Enfant j’aimais (re)dessiner les couvertures de mes romans préférés du moment. Le genre ne changeait pas beaucoup, j’étais friande des histoires d’aventures et d’enquêtes des bibliothèque verte (je suis en flemme, ce soir, de majuscules). Il y a donc dû avoir des pages noircies de six compagnons, alice ou les trois jeunes détectives (d’ailleurs quand je relis les titres français de cette dernière série, je pense que mon humour légendaire n’est peut être pas sorti de nulle part). Comme mes yeux sont retombés sur le livre en titre plus tôt alors que j’essayais de trouver une microplace pour ranger de nouveaux livres, comme-bis mon projet ambitieux de première page en bédé d’anna karénine piétine, comme-ter ma procrastination légendaire me flemme aussi à me coller à d’autres choses bien plus urgentes, commeparcequetoussa j’ai dessiné une couverture.

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22 octobre 2012

Sempervirent

dans les bois

Il existe encore des boutiques qui gardent l'âme des quincailleries des villages paumés de mes souvenirs. Ces endroits à recoins, sans décoration, ni musique ou réclame où s'entassent les pilules miracles vermifuges, le mastic invisible, l'engrais pour rosiers et la peinture pour volets. Le tout pèle mêle et sans logique aucune dans un dédale où seuls les biblothécaires-de-vendeurs semblent s'y retrouver... Ces lieux où on ne va que pour chercher quelquechose, un objet particulier. Et où on en trouve une autre.
Des bâtons de réglisse. Comme ceux qu'on m'achetait enfant pour quetuarrêtesdeterongerlesongles. De quoi replonger. Jusqu'aux héros des livres qui aventuraient à pas d'heures et dangerosaient dans leurs enquêtes ingénieuses. Mais bon ça va, généralement c'était pendant les vacances.
Peut être que ces échoppes, comme les jeunes aventuriers de papier, sont les portes de l'immuable. Elles s'ouvrent de n'importe où, n'importe quelle époque, brassent plusieurs générations de fureteurs ou lecteurs, et s'ouvriront tant qu'il existera des gens pour se souvenir de leur existence.

17 octobre 2012

Orée, lisière, seuil...

foret

... sont des mots que j'aime beaucoup. Comme tant d'autres, pour leurs sons, leur formes, leur lettres mais aussi leurs sens. Orée, lisière, seuil... Trois mots qui désignent pourtant la même chose -une bordure- aimerais-je donc ce qui est frontière ?

15 octobre 2012

Caim

caim

12 octobre 2012

Dragon-chèvre et enfant-Harpie

Dragon chevre et enfant harpie

 

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9 octobre 2012

The red scarf

red scarf

Sometimes you go back to nowhere. Again. In many ways.

 I listened to lots of traditional songs these past few days as If I was trying to carry on my journey in other media spaces. Hungarian, Celtic and finally Swedish folksongs. To get stuck, again. But on a song: En Vacker vän. Frozen and desolated landscape I had in mind while listening. A beautiful friend translated Google. A fair young love I read somewhere else. Far from the red scarf girl I drew just before.

ThereLàici

 

 

 

8 octobre 2012

“There is something in October sets the gypsy blood astir, We must rise and follow her...

octobre 2012 ter

...When from every hill of flame, She calls and calls each vagabond by name”

8 octobre 2012

"Now, I return to this young fellow. And the communication I have got to make is, that he has great expectations."

octobre 2012 part 1

 

octobre 2012

Et oui donc l'automne. Quelques temps que j'en parle déjà de cette saison-là. L'automne qui amène peut être déjà à retracer l'année. (A moins que ce soit le gris et la langueur des dimanches de pluie). Regretter ce qu'elle est advenue pour ceux qui la voulaient grandiose, s'étonner de ce qu'elle a donné pour ceux qui n'en attendaient rien. Voir un peu plus loin et compter les désillusions. C'est peut être encore le pire, affronter son propre regard et ses propres espérances. Constater que ça peut se casser encore la gueule, à l'âge où on vous prédit tous les succès. Mais réaliser aussi qu'il est encore possible de repartir.
Et moi dans tout ça, ce moi du blog et des virtuels mondes ? Je continue à griffonner, à ne pas terminer ce que je commence, comme ces deux vignettes qui n'auront pas de suite, et à trouver que dans mes traits aussi, je persiste et continue à tourner en rond. Mais je trouverai bien une direction-univers vers laquelle repartir.

1 octobre 2012

Octobre

octobre

Et sept centième message.

26 septembre 2012

Aux inconnus poètes

another dryade

En dessirédigeant ce message je pensais aux pâtissiers-écrivains et amis des poètes, à une remarque lue en commentaire quelque part un jour ("ceux qui illustrent n’ont pas le talent pour écrire"), à ceux qui content leurs histoires autrement que par les mots, savoirs, outils ou moyens qui les définissent alentour et sur leur cévé.

Je me suis toujours dit que je pouvais évader et m’évader par le dessin. Mais comme je finis toujours pas gribouiller la même chose, je n’en suis pas certaine finalement.

 

11 septembre 2012

"Cherchez les effets et les causes, nous disent les rêveurs moroses".

reveurs moroses

4 septembre 2012

"Under the harvest moon ..."

septembre

"...
When the soft silver 
Drips shimmering 
Over the garden nights, 
Death, the gray mocker, 
Comes and whispers to you 
As a beautiful friend 
Who remembers."

28 août 2012

“Listen! The wind is rising, and the air is wild with leaves, We have had our summer evenings, now for October eves!”

entre deux saisons

23 août 2012

"You can't leave again, you did not post any drawing lately"

vernis

 

6 août 2012

Août (...)

aout copie

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