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J'aime pas les quenelles
29 novembre 2011

These precious things

these precious things copie

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26 novembre 2011

Post tenebras spero lucem

John Bauer copie

Je continue ma quête-de-la-gribouille-à-la-John-Bauer. Cela n'y ressemble toujours pas, sauf peut être dans le thème et les personnages choisis ("Här ska du få en bit av en trollört, som ingen mer än jag kan leta rätt på"... voici une herbe magique que je suis la seule à pouvoir trouver), mais on ne va pas se laisser abattre.

21 novembre 2011

"Follow the white rabbit"

 

landscape1 bis copie

 

"Tu dessines souvent la même chose"

"Je n’aime pas tes personnages tordus mais j’aimais bien tes arbres et tes villes"

M’a-t-on dit plusieurs fois ces derniers temps. Et en ouvrant mon carnet pour voir quelle image je pourrais ajouter ici, j’allais effectivement choisir une scène dans le même thème que les précédentes. Alors pour "changer" je mets un peu de verdure. Mais au-delà de cette requête et remarques (qui ne m’ennuient pas hein) il est difficile, je trouve, de se renouveler. En gribouille bien sûr, je suis consciente de dessiner la même chose et de souvent tourner en rond, mais aussi sur un sujet plus général. En ces périodes où on a l’impression de se cogner contre un invisible mur, et où, quand même la bonne ou mauvaise fortune vous tend la main pour suivre d’autres voies, on se retrouve enraciné au sol.

Il n'est pas si facile à suivre ce lapin blanc.

16 novembre 2011

The only thing worse than losing your mind...

Spider copie

... is finding it again (Spider).

David Cronenberg, c'est un peu comme Lars Von trier. Je n'aime pas ce qu'il fait et pourtant de temps à autres je vais quand même voir un de ses films. "Drôle" (-non?), quand on y pense, de donner titre en référence à quelque chose que l'on n'a pas aimé.

9 novembre 2011

Vagabondages.

octobre exposition+filtre copie

Tout en griffonnant ce dessin-là, je me disais que je remplissais beaucoup, ces temps, mes carnets de Méduses, de chimères aux cheveux et autres plus ou moins serpentés. Et puis j’ai repensé à mes présentes lectures qui sont toutes de près ou de loin portées sur la religion (au passage, Le Moine de Matthiew Lewis, version bouquin donc, c’est aussi pire que le film, du galimatias de jolis mots pour enrober du n’importe quoi) et à cette fâcheuse histoire d'il y a quelque temps où un ouvrier avait fait scandale en personnalisant sa gargouille du visage d’un collègue-artisan de confession non-catholique. Ce qui m’a conforté dans l’idée que la gargouille n’est souvent pas, de loin, le personnage le plus diabolique... Les gargouilles... J’aime beaucoup les gargouilles.... Et c'est alors que j’ai repensé aux Daemons, les compagnons-alter-ego de la trilogie HisDarkmatérialesque de Philip Pullman. Et pourquoi devraient-ils prendre la forme d’un réel animal et non pas celle d’un fantasque être ces daemons ? Et puis… au final le dessin avait bien avancé alors je me suis arrêtée de vagabonder là.

 

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6 novembre 2011

All that remains

all that remains

 

Deux mille onze a pour mon cinéma des allures de road movie, de films errants dans des contrées plus ou moins sauvages avec des personnages en quête d'un je-ne-sais-quoi profond. Le précédent film helvète vu, la petite chambre, m'avait un peu déçu par son jeu d'acteur parfois un peu forcé et les critiques un peu trop élogieuses que j'en avais lu, aussi ai-je un peu hésité avant d'aller voir all that remains car les avis vus à droite/à gauche étaient un peu partagés. C'est un film qui raconte peu ai-je lu. C'est vrai. On en sait peu, peu sur ces personnages, peu sur ce qui les hante. Ce film raconte peu mais il montre beaucoup.

All that remains c'est une histoire de ponts. Un pont traversant une mer, un pont entre deux continents, d'une sirène qui serait le pont entre l'univers des morts et des vivants, du pont qui se trace entre deux duos de personnes issues d'univers très différents. Quatre personnages que l'on suit, regarde, imagine, accompagne pendant un peu plus d'une heure et demie. On en sait peu, du moins pas tout, sur ce qui les anime, les pousse, les larme, mais a-t-on vraiment besoin de connaître quelqu'un, réel ou fictionnel, jusqu'au bout des doigts pour s'attacher à lui ? Ce qu'il en reste : pour certains, ai-je lu, ce film est beau mais à sa sortie il n'en reste rien. A moi, il me reste certaines images, des regards, et le dénouement, la fin d'une quête pour certains des personnages. Ce n'est pas forcément un film que je voudrais revoir mais il a rempli, pour ma part, son rôle d'évasion.

Dans le genre contemplatif roadmoviste sorti cette année, je préfère toujours "This must be the place", mais si vous aimez le style et si all that remains est bien diffusé hors-Helvétie, alors je pense qu'il mérite le voyage.

 

 

3 novembre 2011

Jawa Script

Jawa nov 2011

J'aime ces associations d'idées incongrues, ces hasards étranges qui font que l'on pense à tout autre chose que ce que l'on a sous les yeux.

Je ne suis pas grande adepte de l'univers StarWars mais j'avais bien aimé ado, sans la porter aux nues, la première trilogie qui en fait est la suite de la nouvelle (que je n'ai toujours pas vue) qui se passe avant l'ancienne. Oui donc je parle des films qui comptent des princesses-macarons, des peignoirs et pyjamas en guise de costume, des décors désertiques et des méchants en plastique. Et parmi les personnages qu'on y trouve j'ai une certaine tendresse pour ces petits bédouins aux yeux lumineux en robe de bure dont on ne sait quasi rien si ce n'est qu'ils chouravent des trucs dans le désert. Des Jawas que ça s'appelle me murmure le Souffleur. Voilà. J'aime bien les Jawas. Je suis sûre qu'un Jawa ça vous plombe en une microseconde ces cochoncetés d'Ewoks.

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