Don't follow. It might get muddy.

Dans la soupe imprimée de joyeuses et partiales nouvelles de l'hebdomadaire gratuit de Hobbitebourg il y avait un article sur la difficulté d'être artiste et de vivre de son art dans le canton. Avec en morale de l'histoire que le créatif devait souffrir (en travail-alimentaire, vie précaire, etc) s'il voulait produire quelquechose intéressant de son art.
Mwé.
Je répondrais plutôt comme ceux qui ont eu l'Ig Nobel (Nobel des recherches sur des sujets improbables) de médecine et qui se demandèrent si une envie pressante d'aller aux toilettes modifie notre faculté à prendre des décisions.
Et donc en gros : parfois oui, parfois non.

Comments

[Galien]

J'ai toujours trouvé cette théorie très con.
Parce que le fait d'avoir faim pendant des années, et des difficultés à payer son loyer, ce sont des trucs qui érodent. Beaucoup de copain ont arrêté à cause de ça, et on n'est pas à l'abri de la déprime.
Avec un telle morale, ça laisse supposer que les artistes qui gagnent leur vie produisent forcément des trucs moins bien.
Ce doit vrai pour certains et faux pour d'autres. D'ailleurs on peut dire aussi que vivre de son métier enlève tout un poids sur le moral et que l'on créé avec un esprit plus libre, plus léger.

[luria]

Théorie à laquelle j'adhère et dont je suis fière, j'ai toujours (ou presque) procrastiné de grandes (ou chouettes) choses.

[Guillaum]

Des théories sur la procrastination c'est pas mal non plus !