Xidew il-qada, ja ġirieni, talli nħadditkom...
...Ma nsab fil-weri u la nsab f’għomorkom.
Il y a un petit côté cultiste de dieux oubliés à la vue de la langue maltaise, non? Mais après tout pourquoi ne pas retrouver dans une langue insulaire et multi-originelle des accents et des traces d'impossible passé... Surtout quand l'île elle-même semble baignée par diverses origines, diverses époques, qui font que parfois on ne sait où on pose le regard... ou les pieds. Drôle de choix de destination de voyage pour qui ne sait déjà pas sur quel pied danser sa ronde quotidienne. Ou au contraire, peut être que le choix fut excellent.
Par contre, moult fois hélas, les tombes ne donnent pas grand chose en image... quand je pense au ratage photographique de ma visite père-lachaisienne de juillet dernier je dois être maudite du sépulcre et du cliché de la danse macabre. Tant pis, il restera les croquis des carnets.
Et d'autres images pour alimenter de nouveaux messages décousus ou photographiquement illustrés ...