Psyché-délique.
Il est des retours dans le réel plus faciles que d'autres. Parce que les évasions quelles qu'elles aient été n'ont pas distillé la magie nécessaire pour rendre le réveil douloureux. Et puis il y a les autres. Les indéffinissables, les entre-deux. Le merveilleux n'était pas là et pourtant on regagne son monde difficilement. Parce que d'autres êtres ou composants y insulfaient leur force, en tissant un fil plus subtil, plus ténu. Et on se rend compte alors qu'on ne l'a plus en main que ce mince fil rattachait presqu'à lui seul les bribes de rires et lumineux moments qui ont jalonné les précédentes heures.
Voilà sinon je suis en panne de gribouilles car le lapin blanc est débordé (des baffes) avec une bonne grosse tranche de réel (saloperie) entre deux rêveries. Donc je poste un des brouillons qui accompagnent pseudo-recherches de costumes. Gribouilles qui changent en cours de route suivant la faisabilité (oui enfin la trouvaille, je ne couds pas moi) et le temps imparti (là c'était la cata). Ceci dit faut vraiment que je m'offre un psyché miroireux histoire que je me rende compte avant et non après coup que le mix d'éléments n'était pas terrible (c'était la remarque blog de fiiiiiilles de ce message. Quand même un peu).